7 écossais du Texas - 7 pistole per i MacGregor / 7 pistolas para los Mac Gregor - 1965 - Franco Giraldi
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- Sartana
- Shérif
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7 écossais du Texas - 7 pistole per i MacGregor / 7 pistolas para los Mac Gregor - 1965 - Franco Giraldi
Sept écossais au Texas (Sette pistole per i McGregor) de Frank Garfield (aka Franco Giraldi) avec Robert Wood, Leo Anchoriz, 1965.
Histoire : Une famille d’écossais, les Mc Gregor, s’est installée aux USA et élève des vaches. Un beau jour, le moment est venu d’aller vendre les têtes en ville. Les 6 frangins de la famille (Robert Woods joue l’aîné, Robert Widmark aka Alberto dell’Acqua le cadet) sont chargés de la mission. Seulement arrivés en ville, ils s’opposent au propriétaire du coin (Cris Huerta) et déclenchent une fantastique bagarre de saloon, et finissent au trou. Ils s’évadent et lorsqu’ils vont rechercher leur troupeau pour quitter la ville, celui-ci a disparu. Craignant la déception de leurs parents et désireux de se faire payer le troupeau, les frères vont tout faire pour retrouver les coupables…
Je pense que l’on peut qualifier ce film du premier western italien hors Leone à bénéficier d’un budget confortable. Financé par la Jolly films (Pour une poignée de dollars) on ne lésine pas sur les bagarres épiques, les scènes de fusillades à hécatombes de cadavres, et sur les décors : la maison des McGregor a été bâtie exprès pour le film** ! Pour le reste, Giraldi réexploite les décors de Pour une poignée de dollars, film dans lequel il avait d’ailleurs été choisi par Leone lui-même pour assurer la réalisation de seconde équipe ; pour la petite histoire, on lui doit la belle scène de fusillade de nuit lorsque les Baxter sont enfumés et sortent de leur repaire en se faisant descendre comme des lapins par les Rodos.
Sur un scénario d’entre autres Duccio Tessari (« Mr Ringo »), Sept écossais au Texas ne souffre que de deux ou trois scènes parfois longuette mais bénéficie d’un scénario riche en rebondissements où l’action est omniprésente. La musique d’Ennio Morricone est un réel atout au film en ce quelle apporte une touche épique à un film qui est construit comme une fresque de héros grecs à la manière d’une épopée des Argonautes. La comparaison s’arrête là car Sept écossais au Texas n’est pas aussi inspiré de la mythologie que Le retour de Ringo de Duccio Tessari par exemple, mais tout de même la source de l’histoire y fait songer.
Côté casting, on peut déplorer le choix de Robert Woods qui est un fade héros bien qu’il donne ici la meilleure prestation que j’ai vu de lui dans le western italien. De même, on remarque au générique Fernando Sancho qui est sous-employé en bandit mexicain qui meurt trop tôt. Leo Anchoriz a en revanche un rôle d’ordure qui est intéressant, et qu’il porte très bien sur ses épaules. On peut noter la présence dans des rôles moins présents les précités Alberto Dell’Acqua plus cascadeur que jamais, ainsi que Cris Huerta ou Antonio Molino Rojo en shérif. En ce qui concerne ce dernier acteur, il était le seul blond (hormis Klaus Kinski) dans la bande d’Indio dans …Et pour quelques dollars de plus.
Bref, on passe devant ce film un très agréable moment, et des westerns italiens comme ça, je voudrais en trouver plus !
8/10
Où le trouver ? Un DVD italien avec langues anglaise ou italienne est dispo chez Xploited Cinema. Une VHS VF est sortie, mais est devenue rare, voire introuvable.
Une suite, intitulée Les 7 écossais explosent (7 donne per i Mc Gregor) a été réalisée l’année suivante par Giraldi avec toujours Leo Anchoriz, mais aussi David Bailey et Roberto Camardiel.
Un autre film fait référence à la famille écossaise, mais seulement par son titre français : Encore un dollar pour Mc Gregor, aka la morte busca a un hombre (1970) de José Luis Merino avec Peter Lee Lawrence. Un titre absurde de plus car ce film n’aurait rien à voir avec les films de Giraldi, de plus, on ne trouve aucun écossais dans le film
** On peut voir aussi cette maison (avec un mirador) dans Deux croix pour un implacable de Rafael Romero Marchent, 1967 Les pistoleros de Paso Bravo de Salvatore Rosso, 1967, ou Arizona se déchaine de Sergio Martino (1970), entre autres.
Histoire : Une famille d’écossais, les Mc Gregor, s’est installée aux USA et élève des vaches. Un beau jour, le moment est venu d’aller vendre les têtes en ville. Les 6 frangins de la famille (Robert Woods joue l’aîné, Robert Widmark aka Alberto dell’Acqua le cadet) sont chargés de la mission. Seulement arrivés en ville, ils s’opposent au propriétaire du coin (Cris Huerta) et déclenchent une fantastique bagarre de saloon, et finissent au trou. Ils s’évadent et lorsqu’ils vont rechercher leur troupeau pour quitter la ville, celui-ci a disparu. Craignant la déception de leurs parents et désireux de se faire payer le troupeau, les frères vont tout faire pour retrouver les coupables…
Je pense que l’on peut qualifier ce film du premier western italien hors Leone à bénéficier d’un budget confortable. Financé par la Jolly films (Pour une poignée de dollars) on ne lésine pas sur les bagarres épiques, les scènes de fusillades à hécatombes de cadavres, et sur les décors : la maison des McGregor a été bâtie exprès pour le film** ! Pour le reste, Giraldi réexploite les décors de Pour une poignée de dollars, film dans lequel il avait d’ailleurs été choisi par Leone lui-même pour assurer la réalisation de seconde équipe ; pour la petite histoire, on lui doit la belle scène de fusillade de nuit lorsque les Baxter sont enfumés et sortent de leur repaire en se faisant descendre comme des lapins par les Rodos.
Sur un scénario d’entre autres Duccio Tessari (« Mr Ringo »), Sept écossais au Texas ne souffre que de deux ou trois scènes parfois longuette mais bénéficie d’un scénario riche en rebondissements où l’action est omniprésente. La musique d’Ennio Morricone est un réel atout au film en ce quelle apporte une touche épique à un film qui est construit comme une fresque de héros grecs à la manière d’une épopée des Argonautes. La comparaison s’arrête là car Sept écossais au Texas n’est pas aussi inspiré de la mythologie que Le retour de Ringo de Duccio Tessari par exemple, mais tout de même la source de l’histoire y fait songer.
Côté casting, on peut déplorer le choix de Robert Woods qui est un fade héros bien qu’il donne ici la meilleure prestation que j’ai vu de lui dans le western italien. De même, on remarque au générique Fernando Sancho qui est sous-employé en bandit mexicain qui meurt trop tôt. Leo Anchoriz a en revanche un rôle d’ordure qui est intéressant, et qu’il porte très bien sur ses épaules. On peut noter la présence dans des rôles moins présents les précités Alberto Dell’Acqua plus cascadeur que jamais, ainsi que Cris Huerta ou Antonio Molino Rojo en shérif. En ce qui concerne ce dernier acteur, il était le seul blond (hormis Klaus Kinski) dans la bande d’Indio dans …Et pour quelques dollars de plus.
Bref, on passe devant ce film un très agréable moment, et des westerns italiens comme ça, je voudrais en trouver plus !
8/10
Où le trouver ? Un DVD italien avec langues anglaise ou italienne est dispo chez Xploited Cinema. Une VHS VF est sortie, mais est devenue rare, voire introuvable.
Une suite, intitulée Les 7 écossais explosent (7 donne per i Mc Gregor) a été réalisée l’année suivante par Giraldi avec toujours Leo Anchoriz, mais aussi David Bailey et Roberto Camardiel.
Un autre film fait référence à la famille écossaise, mais seulement par son titre français : Encore un dollar pour Mc Gregor, aka la morte busca a un hombre (1970) de José Luis Merino avec Peter Lee Lawrence. Un titre absurde de plus car ce film n’aurait rien à voir avec les films de Giraldi, de plus, on ne trouve aucun écossais dans le film
** On peut voir aussi cette maison (avec un mirador) dans Deux croix pour un implacable de Rafael Romero Marchent, 1967 Les pistoleros de Paso Bravo de Salvatore Rosso, 1967, ou Arizona se déchaine de Sergio Martino (1970), entre autres.
Modifié en dernier par Sartana le 11 août 2007 18:44, modifié 2 fois.
"Il suffit de franchir les limites de la violence individuelle qui est criminelle,
pour atteindre la violence de masse qui... qui fait l'histoire..." Brad Fletcher dans Le dernier face à face
pour atteindre la violence de masse qui... qui fait l'histoire..." Brad Fletcher dans Le dernier face à face
Personne a écrit :Sartana, tu as un coeur de pierre!
-
- Forgeron
- Messages : 62
- Enregistré le : 20 févr. 2007 12:17
Enfin vu -- ça faisait un moment que le DVD se languissait dans la pile.
Un très bon divertissement familial, loin de l'ambiance spagh habituelle. Ca la joue plutôt Walt Disney, en fait
Quelques petits détails :
-- dans le rôle du septième frère, le "révérend" qui est blessé au début et qu'on ne revoit qu'à la fin, un dénommé Saturnino Cerra, dont on n'a pas oublié la trogne depuis Il était une fois dans l'Ouest : il fait partie des hommes de Frank que le Cheyenne élimine à bord du train où Harmonica est retenu prisonnier (c'est lui qui ronfle dans le fauteuil pendant que Cheyenne approche par le toit).
-- dans le rôle du pianiste de saloon dans la (grandiose) scène de bagarre du début (il profite de ce que personne ne l'écoute pour jouer enfin de la grande musique, un gag digne de Lucky Luke), il m'a semblé reconnaître Victor Israel, mais il n'est apparemment pas crédité au générique.
A propos du DVD italien mentionné par Sartana : j'ai regardé la piste anglaise et j'ai noté quelques défauts : mauvaise synchronisation du son dans certaines scènes et, dans d'autres, absence de quelques dialogues.
Je présume que Sartana l'a vu en italien (chacun son bilinguisme ) et qu'il n'y a rien à signaler sur cette piste-là. La qualité de l'image est uniformément excellente.
B
Un très bon divertissement familial, loin de l'ambiance spagh habituelle. Ca la joue plutôt Walt Disney, en fait
Quelques petits détails :
-- dans le rôle du septième frère, le "révérend" qui est blessé au début et qu'on ne revoit qu'à la fin, un dénommé Saturnino Cerra, dont on n'a pas oublié la trogne depuis Il était une fois dans l'Ouest : il fait partie des hommes de Frank que le Cheyenne élimine à bord du train où Harmonica est retenu prisonnier (c'est lui qui ronfle dans le fauteuil pendant que Cheyenne approche par le toit).
-- dans le rôle du pianiste de saloon dans la (grandiose) scène de bagarre du début (il profite de ce que personne ne l'écoute pour jouer enfin de la grande musique, un gag digne de Lucky Luke), il m'a semblé reconnaître Victor Israel, mais il n'est apparemment pas crédité au générique.
A propos du DVD italien mentionné par Sartana : j'ai regardé la piste anglaise et j'ai noté quelques défauts : mauvaise synchronisation du son dans certaines scènes et, dans d'autres, absence de quelques dialogues.
Je présume que Sartana l'a vu en italien (chacun son bilinguisme ) et qu'il n'y a rien à signaler sur cette piste-là. La qualité de l'image est uniformément excellente.
B
- Sartana
- Shérif
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- Localisation : Dans la vallée des vautours
Je confirme en toutBreccio a écrit :Je présume que Sartana l'a vu en italien (chacun son bilinguisme ) et qu'il n'y a rien à signaler sur cette piste-là. La qualité de l'image est uniformément excellente.
"Il suffit de franchir les limites de la violence individuelle qui est criminelle,
pour atteindre la violence de masse qui... qui fait l'histoire..." Brad Fletcher dans Le dernier face à face
pour atteindre la violence de masse qui... qui fait l'histoire..." Brad Fletcher dans Le dernier face à face
Personne a écrit :Sartana, tu as un coeur de pierre!
A ce que je vois, Personne fait des affaires dans les vide-greniers !
Ici, la saison bat son plein, et aujourd'hui, deux manifestations dont une assez monstrueuse. Rien trouvé de westernien, mais je suis tombé sur le DVD d'un film dont j'ignorais même qu'il avait eu une sortie française !
Et à 2 €, en plus, j'allais pas me priver !...
B
Ici, la saison bat son plein, et aujourd'hui, deux manifestations dont une assez monstrueuse. Rien trouvé de westernien, mais je suis tombé sur le DVD d'un film dont j'ignorais même qu'il avait eu une sortie française !
Et à 2 €, en plus, j'allais pas me priver !...
B
- Sartana
- Shérif
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- Localisation : Dans la vallée des vautours
Je me répète, mais ce Monsieur T. a de la chance, comme Personne
Modifié en dernier par Sartana le 09 sept. 2007 19:01, modifié 1 fois.
"Il suffit de franchir les limites de la violence individuelle qui est criminelle,
pour atteindre la violence de masse qui... qui fait l'histoire..." Brad Fletcher dans Le dernier face à face
pour atteindre la violence de masse qui... qui fait l'histoire..." Brad Fletcher dans Le dernier face à face
Personne a écrit :Sartana, tu as un coeur de pierre!
Il y a toujours un côté chance dans les brocantes, il y a des mois que je n'ai pas trouvé une belle occase comme celle là.Breccio a écrit :A ce que je vois, Personne fait des affaires dans les vide-greniers !
Ici, la saison bat son plein, et aujourd'hui, deux manifestations dont une assez monstrueuse. Rien trouvé de westernien, mais je suis tombé sur le DVD d'un film dont j'ignorais même qu'il avait eu une sortie française !
Et à 2 €, en plus, j'allais pas me priver !...
B
C'était quoi le film dont tu ne soupçonnait pas la sortie Française?
Re: Sept écossais au Texas de Franco Giraldi avec Robert Woods, 1965
Bien , revenons à nos écossais.
Je viens de visionner le DVD espagnol , à l'image irréprochable...Et cela fait du bien de revoir ce film ,plus de 40 ans après l'avoir vu en salle , lors de sa sortie. A l'époque , l'adolescent que j'étais l' avait aimé et je peux vous assurer que le film est toujours extraordinaire , qu'il n'a pas pris une ride.Encore un , donc , qui mérite de figurer en bonne place dans le palmarès de Breccio !
Sartana a fort bien présenté ce qui fait l'intérêt de ce western ,aussi me contenterai-je d'en évoquer la brillante distribution ,comme j'ai l'habitude de le faire .
Contrairement à Sartana , je trouve que Robert Woods est très bien dans son rôle de Gregor Mac Gregor...il a une certaine décontraction à la Giuliano Gemma. Mais je suis d'accord avec lui lorsqu'il affirme que Fernando Sancho est sous-exploité .Dommage , donc .En revanche , Leo Anchoriz campe un bandido mémorable et son Santillana est parfait. Les 2 actrices ,Agata Flori et Perla Cristal agrémentent l'ensemble de leur belle présence.
Les 6 frères de R. Woods sont : Manuel Zarzo , Alberto Dell'Acqua , Nazzareno Zamperla , Paolo Magalotti , Julio Perez Tabernero et Saturno Cerra.
Les parents sont : Jorge Rigaud , Harry Cotton , AnaMaria Noe et Margareth Horowitz.
Côté bandidos ,il y a , en seconds couteaux : Cris Huerta ,Antonio Molino Rojo en shérif corrompu ,Antonio Iranzo , JoseLuis Lluch ,Jose Riesgo (autre shérif )Xan Das Bolas , Nazzareno Natale (ou Manuel Bermudez ?)...Et Victor Israel en joueur de piano ! Ouf ! Ai-je oublié quelqu'un ?...
En 2 mots comme en cent : UN MUST !
Un film que tout amateur de westerns européens se doit d'avoir vu .
Je viens de visionner le DVD espagnol , à l'image irréprochable...Et cela fait du bien de revoir ce film ,plus de 40 ans après l'avoir vu en salle , lors de sa sortie. A l'époque , l'adolescent que j'étais l' avait aimé et je peux vous assurer que le film est toujours extraordinaire , qu'il n'a pas pris une ride.Encore un , donc , qui mérite de figurer en bonne place dans le palmarès de Breccio !
Sartana a fort bien présenté ce qui fait l'intérêt de ce western ,aussi me contenterai-je d'en évoquer la brillante distribution ,comme j'ai l'habitude de le faire .
Contrairement à Sartana , je trouve que Robert Woods est très bien dans son rôle de Gregor Mac Gregor...il a une certaine décontraction à la Giuliano Gemma. Mais je suis d'accord avec lui lorsqu'il affirme que Fernando Sancho est sous-exploité .Dommage , donc .En revanche , Leo Anchoriz campe un bandido mémorable et son Santillana est parfait. Les 2 actrices ,Agata Flori et Perla Cristal agrémentent l'ensemble de leur belle présence.
Les 6 frères de R. Woods sont : Manuel Zarzo , Alberto Dell'Acqua , Nazzareno Zamperla , Paolo Magalotti , Julio Perez Tabernero et Saturno Cerra.
Les parents sont : Jorge Rigaud , Harry Cotton , AnaMaria Noe et Margareth Horowitz.
Côté bandidos ,il y a , en seconds couteaux : Cris Huerta ,Antonio Molino Rojo en shérif corrompu ,Antonio Iranzo , JoseLuis Lluch ,Jose Riesgo (autre shérif )Xan Das Bolas , Nazzareno Natale (ou Manuel Bermudez ?)...Et Victor Israel en joueur de piano ! Ouf ! Ai-je oublié quelqu'un ?...
En 2 mots comme en cent : UN MUST !
Un film que tout amateur de westerns européens se doit d'avoir vu .
Re: Sept écossais au Texas de Franco Giraldi avec Robert Woods, 1965
Il y a un excellent DVD italien, avec une piste anglaise et interview de Franco Giraldi. (RHV). Le second Mc Gregor existe chez le même éditeur, dans une version tout aussi soignée.
- edocle
- Hors-la-loi
- Messages : 603
- Enregistré le : 11 déc. 2006 14:08
- Localisation : 92 Spaghetti Ville
Re: Sept écossais au Texas de Franco Giraldi avec Robert Woods, 1965
Introuvable... rien n'est introuvable, un jour on a un coup de pot !Sartana a écrit : Une VHS VF est sortie, mais est devenue rare, voire introuvable.
Dans les fins fonds des archives d'une TV d'un pays d' Afrique, elle dormait là...
Et un copain l'en a sortie !!!
La version française est de bonne facture et ne dénature en rien le film, même
si fidèle à leurs sale habitude les distributeurs français l'on amputé d'une dizaine
de minutes !
Après avoir fait chauffer le double coeur, la version française a retrouvé un jeunesse
qui nous rappelle la notre, à Paris lors de la sortie de ce film !
Amicalement E.
Quand les colts fument ... on l' appelle Cimetière !
" Quelque soit la couleur de la peau, le sang est rouge pour tous !"
(Au-delà de la haine de Alessandro SANTINI - 1972)
" Quelque soit la couleur de la peau, le sang est rouge pour tous !"
(Au-delà de la haine de Alessandro SANTINI - 1972)
Re: Sept écossais au Texas de Franco Giraldi avec Robert Woods, 1965
Nos archéologues se sont surpassés ...
L" Afrique renferme de sacrés trésors !
L" Afrique renferme de sacrés trésors !
Re: Sept écossais au Texas de Franco Giraldi avec Robert Woods, 1965
Honneur et whisky, vive les Mc Gregors !!
Vraiment ce Franco Giraldi est un réalisateur à redécouvrir ... a-t-il seulement réalisé un mauvais western ?
Quant à Robert Woods je suis beaucoup plus convaincu par son rôle ici que dans "4 dollars de vengeance" ou "el puro", d'ailleurs au début je ne l'avais tout simplement pas reconnu
A noter un très bon doublage français et un super casting cool
Vraiment ce Franco Giraldi est un réalisateur à redécouvrir ... a-t-il seulement réalisé un mauvais western ?
Quant à Robert Woods je suis beaucoup plus convaincu par son rôle ici que dans "4 dollars de vengeance" ou "el puro", d'ailleurs au début je ne l'avais tout simplement pas reconnu
A noter un très bon doublage français et un super casting cool
Re: Sept écossais au Texas de Franco Giraldi avec Robert Woods, 1965
Giraldi ? La classe !
Un western qui compte parmi les plus grandes réussites du western européen.
Une sortie DVD permettrait au genre de remporter de nombreux suffrages ...
Un western qui compte parmi les plus grandes réussites du western européen.
Une sortie DVD permettrait au genre de remporter de nombreux suffrages ...